Sympathique film d’horreur spatial de la fin des années 90, Event Horizon nous avait même donné foi en Paul W.S. Anderson, devenu un temps “réalisateur à suivre” avant d’enchaîner lors de la décennie suivante les Resident Evil à toute blinde. L’histoire suivait une équipe de sauvetage (avec Sam Neill, Laurence Fishburne…) chargée d’enquêter sur la réapparition d’un vaisseau spatial censé avoir disparu dans un trou noir…
L’arrivée récente du film sur Netflix, service de streaming de films ultra-populaire aux USA, a permis à un spectateur d’isoler plan par plan les délire gorissimes n’apparaissant que fugacement, voire de manière ultra-stroboscopique, dans le film. Il est de notoriété publique – et les ellipses parcourant la structure quelque peu bancale du film en témoignent – que les studios y sont allés fort côté censure pour arriver au montage sorti en salle. Un adoucissement regrettable vu les efforts fournis côté effets spéciaux et l’attention portée à créer un délire cauchemardesque enterrant question sévices ultra-graphiques l’intégralité des Hellraiser.
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News par Alex B
Bonus : le trailer