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Lake Placid

Affiche du film "Lake Placid"

© 1999 Rocking Chair Productions − Tous droits réservés.

Avec la canicule qui s’abat ces derniers jours en France, il est temps de faire un tour dans l’eau. Par contre, pas celle de Lake Placid, film sorti en 1999. Après l’arrivée de l’excellent Crawl d’Alexandre Aja le mercredi 24 juillet, revenons sur l’un des classiques du genre “grosses bêbêtes”.

© 1999 Rocking Chair Productions − Tous droits réservés.

Bon, l’histoire nous pensons que tout le monde la connait même sans le savoir. En gros, un crocodile de 10 mètres débarque dans un lac alors qu’il n’a rien à foutre là et le but sera de le dégager. Le film ne cherche aucunement à en faire plus, c’est un parfait exemple des séries B « animalière » des années 90/2000. Une introduction où l’on présente le danger (le crocodile) avant même les personnages, un personnage de la ville confronté aux « cul-terreux » locaux qui vont devoir collaborer et évidemment la petite amourette naissante pour les deux-trois sentimentales du fond de la salle. Malheureusement, aujourd’hui, la formule a pas mal vieilli ainsi que les effets spéciaux permettant au croco d’exister.

© 1999 Rocking Chair Productions − Tous droits réservés.

Malgré ce côté très classique et sans surprise pour ce genre de film, Lake Placid possède une qualité assez intéressante bien qu’anecdotique à l’échelle du métrage. En effet, là où toutes les séries B de cette époque offraient un combat musclé entre les humains et la Bête, ici, grâce au personnage « rigolo » adorateur de croco, le but est de la capturer afin de la remettre dans son habitat naturel. C’est assez rare pour le préciser, surtout avec l’importance primordiale qu’a la protection animale de nos jours.

© 1999 Rocking Chair Productions − Tous droits réservés.

Nous avons donc ici un film à réserver aux fans ou pour les curieux qui veulent découvrir le genre. Les autres n’auront aucune surprise et trouverons surement le film très cliché. Mais bon, avec cette chaleur, c’est un film parfait pour passer le temps enfermé chez soi avec le ventilateur à 2 centimètres du visage !

Benjamin Germany

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