Pour ce 7e opus, on fait connaissance avec la petite Tina, jeune fille blonde qui ne peut que faire penser à Carrie. Manque de chance, elle a accidentellement tué son père quand elle était petite. La faute à ses dons de télékinésie. En croyant ramener son père à la vie, la conne, elle ramène Jason qui va donc recommencer ses tueries dans le triste état qu’on lui connait désormais : son masque est incrusté dans son visage, sa colonne vertébrale de mort vivant est à vif et sa tête est devenue indescriptible.
© 1988 Paramount Pictures − Tous droits réservés.
Juste a côté de chez Tina, il y a un groupe de jeunes qui s’apprêtent à faire la fête. C’est Jason qui va être content ! Un beau petit record à son actif avec une vingtaine de victimes si on a bien compté. Mais on regrette un peu Carrie car elle nous saoule à la longue avec ses crises “personne ne me croit” . Et puis maintenant que Jason est un mort vivant, à quoi ca sert de vouloir le tuer hein ? L’intéret principal reste Jason lui même, on remarque qu’il pousse de petits soupirs ce qu’il ne faisait pas avant, et puis il est tellement mignon avec sa scie électrique, mais bon.. pas assez bourrin …
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Lissé à l’extrême, le film devient d’une fadeur sans nom. Ce qui aurait pu épicer le spectacle se voit ainsi bêtement supprimé ! Car retirer du gore d’un Vendredi 13, ce qu’ont fait les producteurs sur quasiment tous les films de la série, cela revient à supprimer toutes les scènes de sexe d’un porno. Forcément, cela devient moins palpitant et il ne reste plus grand chose à se mettre sous la dent !
Jamais au niveau, ce septième opus des aventures du célèbre psychopathe constitue sans doute aussi l’apport le plus pitoyable à la saga.