Neil Marshall est prêt à recycler The Descent, avec une suite attendue au tournant. Mais il n’en est plus le producteur : il a laissé les manettes à Jon Harris, monteur de l’original, dont c’est ici le premier long métrage. Pour cet opus, il est malgré tout bien épaulé : comme pour The Descent, le chef-opérateur Sam McCurdy et le compositeur David Julyan font toujours partie de l’équipe. Et c’est James Watkins, un des metteur en scène le plus prometteur du Royaume-Uni depuis Eden Lake, qui en co-signe le scénario et qui assure la réalisation de “seconde équipe”.
The Descent 2 commence immédiatement après la fin du premier : l’héroïne, Sarah est parvenue à échapper aux créatures souterraines et à regagner l’air libre (dans le version américaine parce que dans le montage Européen, elle restait prisonnière des ténèbres, condamnée à y mourrir). Un peu sous le coup de l’émotion( sans blague ), couverte de sang et pas capable d’expliquer ce qui lui est arrivé de façon claire, elle est forcée d’accompagner une équipe de secours dans les cavernes ( pas de chance ) pour de leur prouver qu’elle n’a pas massacré ses copines. Mais les très moches monstres des profondeurs guettent ..
The Descent 2 sortira le 15 mai en Angleterre, le film s’annonce très bien comme la suite rêvée d’un premier opus déja réussi ! On est en droit de s’attendre à une expérience ultime, d’autant que Neil Marshall, très présent sur le plateau tient à ce que cette suite soit digne de son modèle et du genre auquel elle appartient.
