La sélection de Baptiste
Rubber
(Ce film est un non-sens total, un contre pied (dans la tronche) aux scénarios convenus. L’histoire d’un pneu télépathe tueur, fallait avoir des couilles pour la vendre sans faire du gros Z celle-là. La figure centrale du pneu prétexte à un comique de l’absurde de tous les instants. J’ai ri du logo du producteur jusqu’à la fin du générique.
Scott Pilgrim Vs The world.
Scott Pilgrim doit défoncer la tronche des sept ex maléfiques de la nana qu’il convoite. Bande son rock excellente, visuellement délirant et le scénario métaphore sur la nana qui ne s’est tapé que des tocards avant toi et dont certains ont encore une influence dans sa vie. C’est … priceless ! A réserver aux fans de jeux vidéos old school quand même.
Piranha 3D
Le film décomplexé de l’année, clairement. La vision fantasmée made in Alexandre Aja de ce qui arrive quand la décadence atteint son paroxysme, un “Sodome et Gomorrhe” de l’an 2000 quoi. Des boobs, du sang, des boyaux et des grosses bêtes qui sentent bon les jeudi de l’angoisse sur m6 dans les 90’s. Un gros hommage au cinéma bis, mais puissance 10 !
Enfoiré de Président.
Ovni de ma sélection, peu (pas) connu. Totalement amateur et amenant donc logiquement son lot d’imperfections. Et pourtant ; j’ai rarement autant ri. Je n’ai pas ri d’une potentielle nullité mais bien ri des situations délirantes, des dialogues plus que croustillants, d’un scénario couillu et assumé dans son délire grand guignolesque. Une perle brute.
Mad Zombies.
Des steacks Hachés attaquent des gens sur de la musique New Wave. C’est gore, c’est con, c’est caricatural, on aborde la crise de la quarantaine et les familles recomposées. Sérieusement j’ai besoin d’en dire plus ?