Films basé “sur des faits réels”, The Dyatlov Pass Incident est le nouveau projet de Renny Harlin ( 58 minutes pour vivre, L’Exorciste au Commencement, Peur Bleue ). La vraie histoire est la suivante : En 1959, un groupe d’étudiants et d’enseignants Russes de l’Ural Polytechnical Institute parti en session de Ski à travers le nord de l’Oural dans Sverdlovsk Oblast, ont été retrouvés morts dans des circonstances étranges, pour ne pas dire paranormales.
C’est à partir du 10 Février que le groupe ne donnait plus de signe de vie, les forces de l’ordre et les militaires ont ainsi été alertés par l’université et le 26 Février ils ont commencé à mettre en place les opérations de recherches dont certains de l’université s’étaient portés volontaires pour retrouver leurs collègues.
9 cadavres ont été retrouvés durant plusieurs mois de recherche, mais les circonstances sont assez particulières. Dans le campement, les tentes des disparus ont toutes été déchirées de l’intérieur, les traces des pas selon les enquêteurs laissaient supposer que le groupe fuyait quelque chose puisqu’ils n’ont même pas eu le temps de se vêtir ou de se munir de provisions. Ils se sont donc enfuis pieds nus à travers la neige plus ou moins dévêtus dans un froid sibérien quasi absolu.
6 sont morts par hypothermie et 3 cadavres montrent des traces de blessures fatales, un dont la langue a été arrachée tandis que les autres avaient eu le thorax et crane défoncés mais sans aucun signe de dommage sur l’épiderme. D’après les enquêteurs, seule une force surhumaine ou des conditions d’un accident de voiture à pleine vitesse auraient pu commettre de telles blessures fatales.
Ce qui est étrange c’est qu’il n’y a aucune trace d’éventuels poursuivants ou d’animaux sauvages aux alentours, il y a aucune trace de lutte. Ce qui d’ailleurs disculpe les peuples Mansi d’être les auteurs de ces meurtres.
Le plus impressionnant et le plus insolite des détails est le fait que les corps ainsi que leurs vêtements présentaient de très fortes concentrations de radiations, si bien que les cadavres avaient un teint de peau marron-gris. Les radiations étaient si élevées qu’ils ont été enterrés dans des coffres en zinc lors de la cérémonie funéraire.
L’autre fait curieux est que plusieurs témoins indépendants aussi bien des peuples locaux appelés les Mansi et la station météorologique ont vu des sphères lumineuses aux alentours du Kholat Syakhl, la région montagneuse où est mort le groupe de hikers en question, durant les mêmes jours de leur disparition. Dans la langue locale cette région montagneuse Kholat Syakhl signifie « la montagne de la mort », le mont qu’ils visaient pour leurs excursions sportives se nomme le mont Otorten qui signifie en Mansi « Ne va pas là-bas ». L’histoire sombre de cette région auprès de ce peuple vient du fait que beaucoup d’entre eux y sont morts de manière toute aussi inexpliquée.